José Angel Valente
Lignes de visages obscurs, objets et mots fondus ensemble dans la nuit, perdus dans une tension noire. Chez José Angel Valente, la lumière est issue de la nuit, où la mémoire s’est enfouie. Comment toucher ce qui a disparu dans l’obscurité – visages pris dans la dévoration de la mort ? Dans ces amours qui se consument. La fin du jour, l’aurore, l’un dans l’autre la mort dépassée. Nous sommes des noms et des figures, nous sommes des parcelles de mémoire fragiles qui cherchent à s’éclairer.
1986, traduit de l'espagnol et préfacé par Jacques Ancet, édition bilingue, suivi de Cinq fragments pour Antoni Tapiès
88 p., 15x21 cm, ISBN 2877040658, 24 €
Tirage de tête